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Кь графу Александру Романовичу.

Florence, се 20 mars п. 8. 1782.

Nous sommes arriv6s ici le 16 аи soir, ayant еи

constamment travers toutes les montagnes ип temps

afreux essuyer. Le gr.-duc est arriv6 le 18 avec sa

division et а beaucoup plus soufTert que nous du таи-

vais temps et des mauvais chemins dans les 6tats du

раре, car сеих de Toscane sont admirables. Il а еи

deux fois les roues de sa voiture bris6es, de sorte qu'il

а 6t6 oblig< de se mettre avec la grande-duchesse

dans celIe de т-те de Benkendorff. •Nous пе ferons

qu'un bien court s6jour ici, пе devant у rester que 8

jours. Le, grand-duc fera ses P5ques Pise; оп ira

Livorne et Lucques. d'oti оп se rendra Во-

logne sans repasser par ici. Бе grand-duc et la. gran-

de-duchesse d'ici ont 6t6 аи devant des n0tres, le рте-

mier jusqu'h Sienne et l'aufre jusqu'h ипе maison de

сатрадпе quelques postes d'ici, ой leurs altesses пе

sont arriv6es que bien tard, parce que notre grand-

duc, cause de l'esclandre de sa voiture, ayant 6t6

0blig6 de faire beaucoup de chemin h pied рат ип

temps afreux, s'en est trouv6 ип реи incommod6

Sienne ой m-r krouse lui а fait garder le lit jusqu'b

11 h. Maintenant tout est remis. Је пе puis pas vous

dire grand'chose d'ici; j'ai cependant d6jh vu le palais

Pitti, la galerie S-t Laurent et la Cbrilla qui j'ai

apport6 votre lettre. J'ai 6t6 la porte du Chevalier,

mais је пе l'ai pas encore vu. Le grand-duc est 10-

g6 chez Vanini et moi avec m-r Wadkowsky et le prin-