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Кь графу Семену Романовичу.

Il пе sera pas dit que је те m61e de faire des fab-

les bonnes ои mauvaises et que је пе vous еп aurai

раз adress6 ипе. Је vous envoye donc celle de l'in.e et

du Bossignol, parce que vous те l'avez indiqu6 et celle

du Chine et аи Saule, parce qu'elle vous est consacr6e.

Је crois que votre modestie пе sera pas efarouch6e

du petit mot de louange qui la termine. Cela est Si vrai

et si court que vous seriez de bien mauvaise humeur,

l'envie et vous, si vous пе те le pardonniez pas. Оп

dit que nous partons le 15. L'esp6rance de vous voir

Moscou fait que је d6sire extramement d'y aller.

Nons comptons fort et ferme li-dessus, m-r le comte

et moi, et nous serions bien d6sagr6ablement attrap6s,

si vous alliez nous faire faux bond. Mais cela пе sera

pas. Је пе vous dis rien d'ici, parce que j'imagine que

m-r votre frbre, qui sait tout, пе те laisse rien dire.

Nous recevons bien реи de vos nouvelles. C'est la

raret6 des courriers qui еп est cause; cela est fort d6-

sagr6able, mais du moins се n'est pas notre faute. Nous

attendons m-r de Ronzow que vous nous avez fait ап-

noncer avec du tabac, dont j'espbre bien avoir та part.

Vous m'avez accoutum6 cette et il п'у а

pas jusqu'h m-r votre frbre qui пе m6prise son tabac

d'Hollande depuis qu'il sait que vous pr6f6rez celui de