mes principes, Monsieur le comtc, et jugerez се qu'il а dt т'еп cotter
pour пе pas obtenir аи moins les derniers termes des instructions
dont j'6tais porteur.
Mais је crois que jamais јс n'eusse ри у •parven;r. Il m'dtait
particuli&rement recommand6 de пе point те separcr dc l'Angletcrre,
mais la paix, de conccrt avec cette puissance, 6tait impossible, tandis
que maintenant la sienne est probablcmcnt conclue l'heure qu'il est.
М. le comte dc Stackelberg, chez lequel је тс trouve сп се
moment, veut bien vous faire passer топ paquet рат courrier.
Се 16/28 Juillet
1806.
Berlin.
Comte Stroganof аи g6n6ral Boudberg.
L'exp6dition du present courrier пс peut etre relativc qu'i la соп-
tinuation du тёте sujet, sur lcquel roulaicnt mes d6p&ches du 5/27 сои-
rant, que j'ai adress&es Votre Excellence рат lc dernier courrier anglais.
J'ajouterai aujourd'hui simplement quelqucs pi&ces qui doivent сот-
p16ter la masse d'information necessaire роит vous mettre h тёте
de juger de та conduite, Monsieur lc baron: clles consistent simplement
dans les lettres particuli&es qui ont passd entrc nous ct М. d'Oubril,
que j'ai cru plus prudent d'envoyer par ccttc voie, ct рат lesquelles
Votre Excellencc verra con6rm6c la singulibre conduite de сс person-
паде сп contradiction avcc toutes ses instructions; сат il scmble d'aprbs
leur teneur, qu'clles n'aient consist6 qu'en deux mots, savoir: «Faitcs ип
traitd quclque prix que се soit», et, роит parvenir сс but, rien аи
monde пе lui а cott6: il aurait semb16 quc le caract&re subalterne
qu'avait М. d'Oubril aurait dt le mettre son aise cet 6gard, et
qu'en se renfermant dans les limites de ses instructions, il aurait ри
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