accommodants Voila\ le prix qu'obtient la loyaut6 avec laquelle оп

а 0bserv6 ici nos engagements respectifs, fd61it6 pour laquelle j'ai еи

ordre, dans presque toutes les d6p&ches que је recevais, de remercier

le cabinet Britannique.

А tout cela mylord Yarmouth а еи ordre de r6pondre qu'on пе

pouvait point se d6partir ici des premi&res bases, et qu'on demandait

des passeports pour ипе personne qui serait charg6e de l'ultimatum de

cette Cour, lord Lauderdale.

Mylord Granville а ajout6 que le t616graphe avait signa16 1'arriv6e

du messager qui avait 6t6 еп France pour demander les passeports

роит le comte de Lauderdale, lequel n'avait pas еи le temps d'arriver

еп ville.

Се 20 Juillet/Ier Aott

1806.

Londres.

Р. S. је viens d'apprendre l'arriv6e du courrier et је demanderai

mylord Granville le r6sultat des nouvelles qu'il а apport6es avant

de clore mes d6p&ches.

Се Ayant obtenu la permission du prince Castelcicala pour

2 Aoat

le retard du courrier qui devait partir hier et те donner par le

тоуеп de vous mander le r6sultat de се qu'avait apport6 le courrier

qui avait • 6t6 signa16 hier, j'ai еп cons6quence obtenu ипе audience

de mylord Granville: il те dit que се courrier avait apport6 les

passeports de mylord Lauderdale, qui partirait се soir avec ordre de

пе point consentir се que la n6gociation s'6carte еп rien du point

ой elle avait 6t6, et qui 6tait 1' possidetis tel que les Fran€ais

l'avaient еих- m&mes propos6 аи commencement, qu'en cons6quence

l'abandon de la Sicile 6tait ип objet hors de question. Il ajouta que

la mani&re dont mylord Yarmouth rendait compte de quelques соп-

versations qu'il avait eues avec Talleyrand, llli faisait voir que leurs

pr6tentions пе diminuaient pas, аи тоуеп de quoi, ajouta lord Gran-

ville, је• vous dirai еп toute confdence que је n'entretiens аисип

espoir de paix, et qu'il est trbs probable que les n6gociations seront

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