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son exclusion par le roi, il lui ofrait d'admettre dans le
et le cabinet ses deux amis, le comte Fitz.William
et m.r Grey; qu'en тёте tems il donnerait des p1aces
tous ses autres amis et qu'il aurait soin aussi de son neveu
et ami lord Holland. M-r Fox eut l'apparence d'etre satis-
fait, et exhorta ses anciens amis d'accepter les places que
m.r Pitt leur ofrait; mais ceux-ci, soit par attachemcnt
pour lui, soit dans l'espoir поп fond6 que m-r Fox est si
important, que sans lui et еих il serait impossible m-r
Pitt de former ипе administration vigoureuse et 801ide, et
qu'il serait forc6 d'insister et de contraindre ind6cemment
le roi l'admettre dans le cabinet malgr6 lui,
d'entrer еп places, et lords Spencer et Grenville furent
entraln6s la тёте r6solution, се qui occasionna la lettre
que се dernier 6crivit m-r Pitt, dans laquelle il lui dit
qu'il пе veut рад entrer dans ипе administration fond6e sur
ип principe d'exclusion, qu'il regarde сотте contraire la
constitution britannique. Et du • се moment tous сеих que
је viens de nommer dans cette d6pbche, se d€clal•rent ouver-
temenL dans ипе opposition directe et systematique contre
m-r Pitt.
Се qu'il у а do plus 6trange, est la conduite de m-r
qui est renomm6 pour son d€faut de jugement.
Cet homme, apru avoir consei116 аи roi d'appeler m-r Pitt
pour qu'il puisse former ипе nouvelle administration, se
d€clara d'abord contre elle, et parla et vota contre,
qu'elle fut formbe.
M-r Pitt manquant Де comte Spencer et de mylord Gren-
ville, donna le d€partement de la marino lord Melville,
autrefois Henry Dundas, et celui des afaires 6tranOres
lord Harrowby, faisant passer lord Hawkesbury celui de
l'int6rieur la place de т-т York. Il ft се changement,
parce qu'il а 6t6 persuad6 que lord Hawkesbury 6tait plus
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