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tard les deux rbponses que је joins ici еп originaux avec

leurs traductions, qui ont pris toute la journ6e d'hier pour

etre faites. Је dois observer cette occasion que, quoique

leur date soit du 26, се n'e;t que le 27 аи soir que је

les ai reques.

Је те flatte que Sa Majest6 Imp6riale еп sera satisfaite

еп voyant la franchisc avec laquelle бп s'ouvre ici envers

elle, la confance qu'on met dans sa sagesse et sa тадпа-

nimit6, et que се n'est que sur elle que sont fond6s toute

la confance et l'espoir de се pays.

Је dois cette occasion пе pas oublier се que votre

excellence т'а 6crit аи sujet de la cour de Vienne, сотте

si elle s'6tait adress6e celle de Londres роит avoir des

subsides, et сотте si elle еп avait 6t6 rebut6e рат ип

refns, ои bien par ипе ofre si •modique et disproportionn6e

аих besoins de cette cour, qu'elle еп avait si m6contente,

qu'elle пе croyait plus pouvoir avec dignitb s'adresser ја-

mais sur се point la Grande-Bretagne. Је parlai sur се

sujet avec mylord Harrowby, еп le priant de rogarder si

cette demande autrichienne а jamais 6t6 faite par le canal

de m-r Paget ои еп son absence m-r Stuart, ои bien ici par

le comte Stahremberg. Il promit d'examiner tant dans son

bureau que dans les papiers du Conseil, ой оп trouverait des

traces, si c'est le comte Stahremberg qui а fait ici cette de-

mande de bouche; car lord Hawkesbury n'aurait pas ри lui don-

пет ипе rbponse, sans avoir pris l'avis des membres du Cabi-

net, dans les papiers duquel il у aurait sans doute des traces

sur la d61ib6ration qui aurait avoir lieu cette. occasion.

Quelque tems apres il m'assura positivement qu'il п'а jamais

ри trouver le moindre indice sur cettc afaire ni dans les

d6p&ches des employ6s britanniques Vienne, ni dans le

Conseil du Cabinet, ni dans le souvenir de son pr6d6cesseur

lord Hawkesbury, qui l'a assur6 positivement qu'il п'а ја-