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la r6Hexion possible. Il faut considErer quc si
pris роит Rgle de tirer le plus grand parti
pays sur lesquels son inHaence s'€tend, оп
peut-etre, pour lui rFsister, (l'en faire autaut,
avec des modifcations convenablos. Аи reste
d'opinions dbji arret6es dont il est question.
est trop importante pour qu'il пе faille
Bonaparte
possible (les
scra r6duit
bien entendu
се n'est pas
Mais la та—
chercher de
la mettre аи clair de rendre sa aussi sage ее
adapt€e аих circonstances que possible. Il nous а рати
cet efot quo nous пе pouvions mieux faire qae de canser,
роит ainsi dire, amicalement се sujet avec le ministi•re
anglais; nos deux gouvernements peuvent se (lonner mutu-
ellement de bons conseils, сат leurs int6rets sont analogues
et пе se contrarient pas.
Yous serez peut4tre 6tonn6, monsieur le comt.e, que
nous nous bornons remercier l'Angleterre роит l'ofre des
subsides et que nous пе disons pas les accepter prek—
sent. L'Empereur croit que les fonds de l'Angleterre doivent
еп prmnicr lieu etre employds secourir les €tats les plus
n&essiteux et leur Rle refroidi pour la bonne cause.
Cependant lorsque nous aurons recours аих subsides britanni-
ques, се qui peut arriver аи premier jour, croyez-vous, monsieur
le comte, qu'un seul million sera suiisant et qu'il пе sera
pas n&cessaire d'y ajouter quelque chose de. plus? Les оЬ-
servations du chancelier, que m-r de Tatistchef vous еп-
voye pas се тёте courrier, contiennent cet (gard des
idFes bien justes, сотте tout се que le comte votre ft•re
fait. Elles pourront nous diriger lorsque, parvenus •quelque
arrangement avec la соит de Vienne,• nous pourrons aussi еп
faire ип avec celle de Londres. Le cabinet imp. et royal
cst toujours rempli de crai tes et met le secret le plus ab-
solu сотте ртепйёте conditicm toutes ses communications;
sa grallde re;serve forcera le comtc de Razoumowsky