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cations аих cours continentales, afn qu'elles n'aiilent pas

s'imaginer que поиз sommes bien inquiets d'obtenir leurs

secours. Pour се qui est du cabinet de S-t James, si Гоп а

]llis quelque d61ai lui faire part de la rbponse donn6e

la France (quoique assurt;ment cette reponse taite pour теп-

contrer l'approbation du anglais), c'est parce que

пе recevant апсипе r{ponse de sa part sur les ouvertures

les plus inte;ressantes, оп а qu'il fallait d'abord les

attendre avant que de faire de nouvelles communications.

Ces r6ponses arriv&es, j'ai voulu faire partir le tout ensem•

ble par се courrier dont l'expddition, топ grand regret,

а 6t6 arr0t6e par les f&tes du mariage et les manoeuvres

pendant lesquelles оп п'а ри que difticilement voir [Empereur.

Millc circonstances peuycnt retarder ипе exp(dition, et је. пе

saurais пе pas citer encore ипе fois le tems que nous avons

passe; ici sans recevoir ип seul mot de la part du ministre

ar!glais; mais cela пе doit pas faire suspecter la confance

rFciproque. Un tel reproche dcviendrait sensible Sa Majest6

et son gouvernement, car il est оп пе peut pas moins

merit€. Quant се qni est du chevalier Warren, personne n'est

plus digne de confance que lui: il s'est acquis la n0tre toute

et јс n'omets аисипо occasiun роит lui еп donner

les preuves les moins Veuillez, m-r le c-te,

redresser cet l'opinion de mylord Harrowby qui est

absolument dans l'erreur sur le cmnpte de la татйёте dont

il croit que l'amiral Warren est consid6r6 ici. Sa MajestF, le

verra partir avec ип vbritable regret, ainsi quc је vous l'ai

d6ji mand6, m-r le comte. Cela pas que tout

autre ambassadeur anglais et nomm6ment mylord Gower пе

soit regu ici сотте doit l'&tre le repr6sentant d'une соит

avec laquelle nous sommes si intimement li€s et qu'on пе

accorde aussit0t toute la confance que le seul choix de

sa majeste britannique sufit (lt;ji роис nous inspirer.