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се qui regarde les nbgociations qui vont se suivre avec le
autrichien. Mais que c.et 6tat de choses
tirera bient0t sa fn, et qu'alors notre ambassadeur
Vienne sera dans le cas d'entrer еп correspondance suivie
sur ces objets avec vons, monsieur le comte. La conr de
Vienne vient de donner derechef ипе preuve bien fAcheusc
de sa faiblesse еп reconnaissant Bonaparte роит empereur
et еп accompagnant cet acte, humiliant d'une par
laquelle ellc s'est revetue elle-meme du titre imp6rial h6r6-
d'Autriche. Је crois que notre cour, пе pouvant ар-
prouver ипе telle conduite ct s'en btant expliqu6e d'avance,
пе se pressera pas de reconnaftre la nonvelle dignit6 de
rcmpereur et roi, vu la circonstance dans laquelle elle est рто-
с]атёе. Роит се qui est de la cour de Berlin, оп пе saurait
mettre assez de circonspcction envers elle, et је crois qu'il est
nbc.essaire d'en avoir aussi vis-i-vis d'Alopeus (soit dit entre
nous), envers lequel il пе serait pas hors de propos que
monsieur Jackson se ticnne sur la rbserve jusqu'i nouvel
avis. Се n'est que lorsqne tout le reste serait arrang6 qu'on
pourrait s'adresser la cour de Berlin.
Р. S. Vous sercz 6tonn6, monsieur le comte, ип de ces jours,
аи lien de feld-jaeger, de voir entrer dans votre chambre
Novossiltzof. Il avait dbji depuis се printems sollicitb la
permission d'aller роит quelques mois сп Angleterre pour
des ob.iets relatifs аих loix, аих scicnces et l'industrie,
qui l'occupent specialement ici. Dans le tems que nous
avons craint quo vous quitteriez Londres cet e;tt;, ainsi que
toutes vos lettres le disaient, j'ai vu avec beaucoup de
plaisir се voyage de Novossiltzof se pr6parer, 6tant fort
aise qu'il se trouvat тёте еп passant еп Angleterre quand
vous п'у seriez plus. Le vovage de cet ami соттип va,