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Квязь Чарторыжск1й гра•у Воронцову.

Се 10 Septembre (1804).

Је vous ai recommand6 oTciellement Novossiltzof, топ-

sieur le comte, mais votre amiti6 pour lui fera plus que

toutes les recommandations. Је profte de son d€part pour

vous faire parvenir plusieurs d6p&ches et entre autres ип

rescript que l'Empereur а voulu vous adresser par lui et qui

peut mcner ипе discussion fnale avec le cabinet anglais.

Аи reste је пе sur rien, tnonsieur le comte, сат

vous recevez ипе d6p&che toute vivante qui vous dira tout

се que vous voudrez savoir. Је т'у donc

ment. Nous avons enfn rompu toute relation avec France.

Bonaparte, aussit0t qu'il а su que la cour de Vienne l'avait

reconnu, crut que nous avions manqu6 nos calculs et que

nous cbderions; il ft еџ cons6quencc (lonner sa r6ponse.

Le d'Oubril les а fort 6t(mn6, et Bonapartc envoya

d'Aix-la.Chapelle ип courrier m.r Renneval avec ипе пои-

velle note assez radoucie, mais qui аи milieu de beaucoup

de phrases пе dit rien, сотте vous le verrez раг la copie

de cette 1йёсе. Tout cela n'arriva que deux »urs apr>s que

Renneval c0t recu l'intimation de s'en aller et que la note

circulairo eut 6t6 donn6e tous les n)inistros. Toute rela-

tion 6tant de cette facon rompue, је dis m-r Renneval

que је пе pouvais plus accepter sa note, mais que ј'еп pren-

drais ипе copie sans signature s'il voulait те Иа communiqucr

confdentiellement. П est parti еп attendant hier, et s'arretera

д Riga jusqu'i се que 0ubril ait quittb Мауепсе, сс qui

n'arrivera qu'au retour du courrier franqais Paris; car

Bonaparte s'est attendu чие son dernier отсе ferait assez

d'etTet ici роит nous engager remettre encore la rupture.