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а failli рите perte у faire nattre deg opinions oppos6es,
(lont l'impression germera се que Иа manibre dont
la соит de Londres ritifera et recevra tout се qui s'est
fait ici пе l'ait fait cesser. Quoique l'article relatif аи code
maritime, ainsi qu'il а 6t6 сопди, n'6tait d'aucune fapn ob-
ligatoire pour l'Anglcterre et пе contenait rien qui puisso
lui etre nuisible ои d6sagr6able, lord Gower а cependant
refus6 absolument de l'ins6rer dans la transaction. Еп дё-
n6ral, il а trouv6 diTcult6 tout, et quelques qualit6s es-
timables qu'il ait d'ailleurs, оп пе d6sirerait pas d'avoir вои-
vent n6gocier avec lui. Il а marchand6 sur les subsides,
ponr ainsi dire, denier par denier, et аисипе des expres-
sions que l'on tAchait de tronver роит exprimer les stipu-
lations qui avaient rapport се point, пе tranquillisait вит-
samment ses appr6hensions sur les interpr6tations qu'il ima-
ginait. C'est се qui т'а emp0ch6 de те conformer l'avis
du chancelier sur la quantit6 des subsides que devait тесе-
voir la Russie. J'ai fni enfn рат demander quatre mois seu-
lement de remise; mais lord Gower а fait sur cela encore
tant de difcult6s que l'Empereur а r6pugn6 d'insi8ter da-
vantage sur ип article ой l'int6r&t fnancier 6tait seul еп
јеи. Lord Gower а mille qualit6s estimables et attachantes;
mais со n'est nullement l'homme qu'il faut роит faire aller
les choses rondement, de bon accord et Типе satis-
faisante, et son obstination, principalement sur Malte, qui
а mis toute la nbgociation аи moment d'&tre rompue, est
ипе circonstance que Sa Majest6 pourrait oublier diTcile-
ment. Entre nous soit dit, је suis convaincu que pour le
bien des afaires il vaudrait mieux qu'on поид еп envoye
incessamment ип autre.
Оп peut s'en fer notre ami Novossiltzof, que s'il est
admis Paris, la nCgociation пе tratnera рад. Се n'est рад
sans doute dans се but que nous avons pos6 plusieurs ter-