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Gower doit recevoir son cadeau, et c'est vous accepter

celui de la cour de Londres. Veuillez vous entendre се

sujet avec le Lord Gower est d6ji pr6venu de

cet arrangement.

Је vous ai d{ji 6crit, m-r le comte, sur l'accusation de

paresse dont је пе suis рад libre vos уеих. Је ferai топ

possible роит пе рад dor€navant; mais је vous

demande quelquefois de l'indulgence: le tems physique manque

souvent. Моп d6sir le plus est de vous savoir соп-

tent de moi et de пе rien n6gliger роит cela.

Le moment actuel est critique et bien difHcile. L'Autriche

vacille et поиз fera, faux•bond; la Prusse п'еп

sera que plus incertaine; еп attendant, ici toutes les dif6-

rentes cliques (qui du reste пе peuvent pas se soufrir entre

soi) se r6unissent avec ипе ardeur redoub16e pour faire tort

la marche du pour entraver tout. Оп у va haut

la main, et еп тёте tems par des op€rations souterraines

dont l'efet est encore plus mauvais. Il faut fairo, s'il est

possible, ипе grande provision de fermet6 et de sagesse, роит

п'еп рая perdre la tete. Enfn, si nous nous tirons bien

de tout cela, је crois que j'irai quelque part еп pMerinage

роит еп remercier le Ciel.—Vous dire, m-r le comte, que le

chancelier те comble toujours de bont6s et d'amiti6 et qne

топ attachement et та reconnaissance pour lui пе peuvent

que s'en accr01tre, c'est vous dire се que vous savez d6ji.

Il est reparti de Moscou pour sa сатрадпе еп bonne sant6

et avec l'espoir de l'y rafermir davantage.

Il faut que је vous reparle encore de la prolongation de

votre 86jour еп Angleterre. Vous etes le mattre d'en fxer

la dur6e, сотте bon vous semble; mais il те paratt qu'il

vous sera impossible de quitter votre poste dans ип moment

aussi int6ressant, et avant que les choses n'ayent pris ипе

assiette. C'est pourquoi је crois qu'il faudrait remettre votre