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pation des troupes anglaises et par les escadres anglaises
dans ses ports, garantit la M6diterran6e. [е Levant et l'Egypte
du despotisme de la France. Оп est donc entr6 еп guerre
роит се sujet; оп у est entr6 uniquement роит cela, avec
l'intention пе рад abandonner се point, et
оп у est entr6 sans le moindre espoir, sans аисипе id6e de
diversion de guerre continentale, sur laquelle оп пе pouvait
рад compter, vu la lAchet6 de la cour de Vienne et les vues
perfdes de celle de Berlin, d6vou6e Bonaparte par recon-
naissance роит l'agrandisscmeut qu'il lui а procur6 d$,
et par l'espoir qu'elle de s'approprier le Hanovre par
la protection du тёте Corse; et оп savait aussi que се
n'est рад le qui inHue Berlin, mais Lombard,
Behm et koekeritz, tous achet6s par la France, qui
le petit neveu du Grand Fr6d6ric. Si donc dans cet abandon
absolu l'Angleterre s'est r6vei116e de la 16thargie ой Addington
l'avait plong6e pour deux ans, si elle а тесоппи la n6ces-
sit6 de risquer la guerre avec ses propres et uniques res-
sources роит пе pas 6vacuer ипе Пе qui garantit аи moins
la M6diterran6e, le Levant et l'Egypte, comment peut-on
croire qu'elle changera pr6sent de sentiment sur sujet
de cette importance? Оп а 6t6 bien aise ici quand оп а еи
d'espoir de voir ипе coalition continentale; оп а
ofert tout de suite les secours pecuniaires les plus inouis,
quoique l'Autric.he et la Prusse auraient (.lt роит leur propre
intt;ret, si elles le connaissaient bicn, entrer dans ипе guerre
qui devait les d61ivrer de la tyrannie franqaise et qui de-
vait leur procurer ипе extension de territoire. Certainement
l'Angleterre est int6ress6e аих afaires du continent, mais
son plus grand int6ret, son existence l'oblige imp6rieuse-
ment s'occuper plus de la mer, сотте la Russie, la Prusse
et l'Autriche doivent de pr6f6rence s'attacher plus аих afai-
res continentales que maritimes. Il п'у а que la France
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