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trbs-vague; car еп lui envoyant le discours de Вопа-
parte, Talleyrand ajoutait qu'on peut voir les vues pacif-
ques de la France et les bases sur lesquelles оп pourrait
traiter. Nous lui demandAmes si l'on avait d$ fait ипе
r6ponse. П nons r{pondit que пои. Nous le questionnames
sur le sens, dans lequel оп voulait r6pondre. Il nous r6pli-
qua, qu'il пе pouvait pas le dire; mais que dans deux jours
il nous le communiquerait, се qui nous prouva que le roi
et le cabinet n'avaient pas encore d6termin6 le sens de la
dite r6ponse.
Revenant аих dif6rentes commnnications que nous lui
avions faites, il avouait que la d6fense de la Turquie, si
elle 6tait attaqu6e, devait etre ип objet de grande consid6-
ration роит nos deux соин et qu'il fallait l'entreprendre;
mais il semblait qu'il regardait cette dbfense сотте tru-
diticile, се qui n'est pas 6tonnant, саг nous avons еи lieu
d'observer par plusieurs circonstances, qu'il croit Bonaparte
encore beaacoup plus fort qu'il n'est r6ellement.
Sur la d6fense de la Sicile, il avait l'air de croire qu'il
fallait que les Anglais seuls la d6fendent, се que j'ii сот-
battu еп ajoutant que, si les Calabres tiennent encore, ип
corps de troupes qui passerait d6fendrait encore mieux
la Sicile, qui doit aussi etre d6fendue par plus de troupes
qn'il п'еп resterait, s'il п'у ayait que les troupes anglaises
seules.
Nous eames encore ипе confbrence avec се se-
cr6taire d'6tat, dans laquelle revenant sur la Porte 0tto-
тапе, sur la d6fense des 6tats du roi des Deux-Siciles qui
n'6taient pas encore envahis,
il nous r6p6ta peu-pru leg
m&mes choses: et сотте il 6tait еп 6tat de parler fond
sur mes communications, ayant еи le tems n6cessaire de les
lire et d'y r6R6chir, nons le pri{mes de nous expliquer son
opinion. Alors,
sans btre bien clair dans sa de