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К•язь Чарторыжск1й гра•у Воровцову.
Се 24 Juillet т. Bt. 1806.
Је profte du d6part de m-r Moeller роит vous 6crire,
monsieur le comte, fort la h'te, car il est аи moment
de se mettre еп voiture. Depuis longtemps је пе vous ai
pas 6crit et il s'est pass6 tant d'6v6nements ici еп attendant
dont је vous dois eompte, parce que depuis longtemps је
suis accoutum6 те confer votre pr6cieuse amiti{ et
еп appeler votre jugement et votre opinion роит tout
со qui а rapport та conduite dcpuis que је те trouve
(lans les afaires.
Мед lettres et celles de Novossiltzof par le dernier courrier
que је vous ai encore exp6di6, monsieur le comte, vous
avaient pr6venu de la position dans laquelle поив nous
trouvions. J'attends avec impatiencc vos r6ponses, que pro-
bablement vous aurez 6crites apru que la nouvelle du chan-
gement dans le d'ici sera arriv{e Londres. Nous
pourrons d6ji voir dans ces r6ponses la dont vous
avez envisag6 cet 6v6nement, qu'il п'а plus d€pendu de nous
d'empbcher.
Le tems пе те permet pas anjourd'hui d'entrer dans ип
historique plus d6taill6 des circonstances qui ont атепб
та sortie du et de vous exposer les raisons qui
опе d6termin6 chacune de под d6marches communes avec
Novossiltzof; је пе manquerai pas de le faire par la pre-
occasion s0re qui se pr6sentera. Је те bornerai
vous assurer que notre conscience п'а rien nous repro-
cher dans cette occasion; que поив avons fait tout се qui
6tait possible et convenable pour rester, si l'Empereur avait