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sieur, 8i је puis btre de quelque utilit6 pour сеих qui у

•ont des afaires.

Quand аи dictionnaire dont vous entreprenez ипе пои-

velle bdition, је serais channb d'en prendre ип exemplaire,

пе connaissant pas la premibre, et је le reprendrai chez

m-r Debosse, qui те fournit les livres dont j'ai besoin.

Је пе suis рад surpris du tout si dans la 6dition

de се dictionnaire il est mention de moi, се que

vous те dites; аи contraire, је suis тёте 6tonn6 de се que

тпоп пот s'y trouve, n'ayant rien fait qui puisse m€riter

i'attention des contemporains, et encore moins celle de la

post6rit6, laquelle оп пе doit transmett.re quc les noms

«le сеих dont la m6moire doit etre conservee cause de

leurs faits m6morables et avantageux роит le bien public.

2.

Londres, le 10 (22) Juin 1812.

Madame la comtesse.

Је profte du d6part de т-те Pitt роит те rappeler

votre souvenir et роис vous remercier роит le bien que

vous et votre digne ёроих avez fait Longuinof, аи sort

duquel је m'int6resserai toujours. Је sais que се qne vous

avez fait n'est que la cons€quence de l'amitib que le comte

Strogonof а pour lui; mais је пе vous suis pas moins re-

connaissant роит cela: car quand оп fait du bien mes

amis, c'est pour moi tout autant que si оп le faisait moi

personnellement. J'ose vous assurer qu'il est digne du bon-

25$