Кь Пельцеру.

(1815).

Le comte Woronzow pr6sente ses compliments m-r

Pelzer et еп r6ponse sa longue lettre ои m6moire, il

nie que c'est lui qui l'a епсоигадё пе pas se rendre

Vienne, quand il avait ordre d'y aller. Il а 6t6 aussi tout-

h-fait contraire la r6solution que m-r Pelzer avait prise

de vouloir que sa cour le laissat Vienne, par la raison

toute simple que се n'est pas аи sujet donner la loi

son souverain. M-r Pelzer manque absolument de mbmoire,

quand il pr6tend que le comte Woronzow lui а dit que

quand ип ambassadeur est mal avec son secr6taire. c'est

celui-ci qui est toujours sacrif6; m•xis il lui а dit que се-

lui-ci est totjours rappe16 роит etre envoy6 autre-part. Cela

est aussi naturel que juste: car, 86par6s, chacun d'eux реиЬ

et.re utiles, mais ils пе peuvent pas rester ensemble sans

de grands inconv6nients.

Се n'est рад cause Ци comte Woronzow que le comte

St. (*) s'est brouillb avec m-r Pelzer. Сотто се ministre

autrichien пе l'employait rien, le bureau Vienne пе

voyant jamais l'6criture de m-r Pelzer dans les• d6peches

du ministre, celui-ci пе pouvait pas l'accuser de les сот-

muniquer аи ministre russe. Le comte Woronzow,

de l'abandon dans lequel s'est trouvb m-r Pelzer рас

(Ф) Старембертъ.