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propre faute, а 6crit poortant еп да favenr аи comte S.;

il а tach6 de le servir aupru du baron Weissenberg; il а

tAch6 de lui procurer, s'il 6tait possible, quelqne place;

mais il l'avertissait aussi qu'il п'у а аисип espoir pour

qu'un 6tranger et catholique poisse еп obtenir. Aprbg cela

qu'est се qu'il poovait faire de plus, que de l'aider pendant

plusieurs ann6es, autant que ses moycns le lui permettaient?

Si ses moyens diminuent, се n'est рад ип crime, mais ип

malheur pour le eomte Woronzow, qni а cela de соттип

avec tous les Russes cause de pertes essuy6es dans l'ar»

пбе 1812, outre le 20 роит 100 de taxe qu'il supportc

depuis се tems et la perte 6norme sur le change, qui de-

puis 4 ans п'а fait que baisser et se trouve btre r6duit

depuis 32 shillings et plus 11 sols le rouble. Le comte

Woronzow а d'ailleurs de proches parents, comp16tement

ruin6s, qu'iL secoure et doit secourir dc pr€ft;rence. Jamais

lo comte Woronzow п'а dit m-r Pelzer qu'il а ипе for-

tune immense; се serait ипе bbtise et ипе fausset6 ridicule,

et qui le connaft пе croira jamais ипе chose aussi вь-

surde. Il se souvient qu il у а 5 ans, аргИ qu'il аеи d6jh

la satisfaction depuis quelqne tems d'aider m-r Pelzer, il

lui а dit qu'il а ипе fortuno pouvoir donner des secours

m-r Pelzer. Est-ce la fante dn premier, que ses revenus

diminuaient consid€rablement, tandis que ses d6penses пе

faisaient que d'augmentcr par le malheur de plusieurs de

ses parents? M-r Pelzer est choqu6 de се que le comte

Woronzow lui sugg6ra se servir de ses talents littbrai-

res роит vivre; il п'у а rien de choquant еп cela, puisqn'il

у а pru de 4 ans que m-r Р. lui а dit qu'il egp6rait dans

реи de trouver ипе place dans la maison d'un particulier.

Сотте il п'а pas voulu s'expliquer, le comte Woronzow а

dt croire que c'6tait сотте secr6taire ои biblioth6caire

chez quelque seigneur, ои bien associ6 la confection de