З.
Londres, le 5 (17) D6cembre 1812.
Si је tarde vous r6pondre, monsieur le comte, c'est
ратсе que vous avez voulu que је le fsse рат l'occasion
des courriers, et сотте је suis retir6 du monde par le be-
soin dc repos qu'exigent топ Аде et mes infrmit6s, et que
је n'ai conserv6 аисипе liaison intime avec les membres de
toutes les administrations qui ont succ6d6 celle de m-r
Pitt, је пе suis jamais inform6 du d6part des courriers. Је
devais donc attendre ипе occasion сотте celle de топ
ami l'amiral Greig, qui compte de partir dans 5 6 jours,
et сотте је compte de quitter Londres avant се tems,
роит aller Wilton chez та flle, јо lui laisserai cette
lettre, qu'il vous remettra еп mains propre.s. Је suis оп
пс peut pas plus sensible et reconnaissant pour la pyt
que vous avez prise аи sujet de la blessure de топ fls et
роит l'amiti6 avec laquelle vous vous etes empress6 de
m'assurer qu'elle n'cst рад dangereuse. Је dois vous dire
que, grAce l'attention de се bon garpn, il т'а 6vit6 les
soufrances les plus cruelles: сат аи moment тёте que је
voyais, •dans le papier du matin, le rapport du prince Кои-
tousof ой il est question de la blessure de топ fls,
regus dans la minute, dans la seconde, dans l'instant тёте
qno j'avais се papier еп main, ипе lettre de sa part, qu'il
m'6crivit de Mojaisk, et qui dissipa toutes mes craintes. Il а
еи l'attention de m'6crire deux lettres, qu'il envoya рас Рё-
tersbourg et Moscou, pour que l'une ои l'autre m'arrivat аи
phis t0t, еп m'assurant que Ла balle а 6t6 d6ji tir&e de sa
cuisse, que l'os n'est рад endommag6 et que dans реи il•
sera gu6ri. Le lendemain је requs son autre lettre; ј'еп ai