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quelque journal, се qui n'est seulement honteux ип homme

qui а requ ипе 6ducation classique et qui se trouve dans

l'cmbarras. Il dit que Woronzow а сотри avec lui. Cela

est bien 6tonnant; car quand, il у а quelques mois, il

6crivit роит demander 80 ои 100 livres sterling, Woronzow

lui envoya 80, еп lui exposant la situation

ой il se trouve de пе pouvoir pas lui envoyer davantage.

Depuis се tems il а invit6 m-r Pelzer deux fois venir

dtner chez lui et fut refus6, et depui8 •се tems il п'а ја-

mais vonlu mettre le pied chez lui. Quel est celui des deux

qui а rompu? M-r Pelzer lui dit dans sa longue lettre ои

m6moire, qu'il le communiquera аи comte Michel Woronzow

et lord Pembroke. Il peut non-seulement leur communiquer

cette lettra, mais aussi tous сеих qui connaissent et тёте

пе connaissent рад le comte Woronzow. Се qui est le plus

singulier dans cet.te lettre ои m6moire, est que m-r Pelzer

somme le comte Woronzow de lui procurer ипе place, еотте

s'il pouvait disposer des places et сотте s'il n'avait pas

d6jh tentb рат ses amis pouvoir lui procurer quelque

emploi, et cela apr& que m-r Pelzer avoue lui-meme que

Woronzow lui а dit que cela est impossible obtenir роит

ип 6tranger qui est catholique. Сотте m-r Pelzer а 6t6

plusieurs mois faire sa longue lettre ои m6moire еп rt5-

ponse celle que Woronzow lui 6crivit, еп lui envoyant le

secours qu'il 6tait еп 6tat de lui donner, il пе s'6tonnera

pas de се que celle-qi пе lui est parvenue que 5 6 jours

apis la r6ception de la lettre ои 06moire: car оп пе sait

comment l'appeler, cet €crit si volumineux et si inintelli-

gible; car il 6tait impossible d'en comprendre le but. Il fal•

lait se donner la peine de 1е lire et relire plusieurs fois

sans еп etre bien avanc6, et il fallait r6f16chir si оп devait

у r6pondre. Оп а pris се dernier parti роит n'avoir rien

se reprocher.