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is6, et •il зета опсове d'un ап s'en ressentir. D'ail-

leurs, m-r le comte, tant que nous serons Reading,

nous пе pourrons que vivre. Роит amasser quelque

chose et avoir ипе perspective, il faudrait se rappro-

cher de Londres, se faire connaitre, obtenir la соп-

fance de la noblesse et pouvoir, сотте les 6coles de

Londres, faire payer 50 et 60 gnin6es de pension, et

dans ип pays tel que celui-ci, ой tout est mode et

engouement, rien пе pourrait plus •contribuer nons

еп faciliter les moyns que l'impression de топ ouvra-

де, si du moins il r6ussissait et s'il faisait quelque

bruit, d'autant surtout que, si l'exp6rience те prouvait

que та manibre d'envisager les objets пе d6plait pas

аи public, j'ai еп portefeuille des mat6riaux роит trois

ои quatre, autres trait6s, sur des sujets fort int6res-

sants.

Enfn, monsieur le. comte, il est ипе dernibre id6e

que votre excellence trouvera vraisemblablement fort

ridicule, mais laquelle је пе puis pas m'emp@cher

de tenir prodigieusement. Vous l'avouerai•je? Le voeu

le plus vif, le plus ardent de топ coeur serait d'obte-

nir la permission de d6dier Sa Majest6 Imp6riale

soit топ ouvrage, soit quelqu'un de сеих qui le sui-

vront. Quoiqu'il puisse m'arriver, duss6-je p6rir de mi-

sbre. је mourrais content, satisfait et heureux, si, de

son aveu, j'avais еи ипе осса$оп de m'expliquer sur

се que ј'еп pense. Је пе crois pas avoir besoin d'en

dire les raisons votre excellence: vous 6tes fait роит

les sentir; il faudrait des volumes роит les expliquer.

Pardon, monsieur le comte, pardon de vous avoir

entretenu si longtems sur des choses, qui, је пе le

sens que trop, sont peut-etre toutes des illusions. Il

faut passer quelque chose аих malheureux; vous n'ig-