la fn оп l'avait fait ministre Londres, et qu'au fond

c'6tnit la тете chose que се qu'il avait dit avant. Је lui ai

0bserv6 que quand оп citait, il fallait 6tre vrai; que d'ailleurs

les mots et les paroles expriment les id6es des gens, que leur

exactitude n'6tait pa.s ипе chose si indif6rente. Enfn j'ai vu

cette occasion c'08t que је lui ai dit que de tontes sortes de

gens il п'у еп а рад de plus faibles, que еп amiti6 et еп ini-

miti6 оп пе sait jamais comment де retourner avec еих, et

ils se compromettent Bt vous compromettent tout moment.

П ехсИе ici tout le monde, et је vous assure qu'il п'у а рав

тоуеп de l'aider; il se plaint chacnn de de Besborodka,

qui пе .lui а rien fait que de пе le plus recevoir chez lui

apru еп avoir exc6d6. Figurez-vous qu'il vient quelquefois

chez moi et у reste des trois heures те parler toujours

d'argent et de terre qu'il faut lui donner, et des

qu'il а, dit-il, rendus. E1)fin, је vous avoue que cela те pbse,

et il у а longtems que је пе l'aurais рад reyn, 8i је n'avais

.6gard votre recommandation et аи service que ses fRres

vous rendent.

J'ai reyu les bougies et les conftures que vous m'avez

envoy6s, ainsi qne les liqueurs. Les conftures, qui 6taient роит

votre beau-p>re, vos belles-soeurs et т-те Poliansky, ont

remises ]eur adresse.

Nous n'avons rien Де nouveau. La сопт restera, dit-on,

Zarsk06-S610 jusqu'au 10; ј'у ai 6t6 il у а que1ques jonrs,

et j'ai еи le bonheur de voir l'Imp6ratrice, qui continue а voir

реи de monde et j'ai rest6 avec e11e рти d'nne demie-henre;

elle se porte bien, et continue travailler beaucoup.

Је vous prie d'embrasser та belle soeur et vos enfans pour

moi, 6tant аи reste tout vous, топ cher ami.