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S-t И septembre 1784.

Је vous ai 6crit hier, „топ cher Сенюша, par пп de под

courriers qni va Vienne et Francfort., sur la nouvelle

mcheuse qui поив est parvenne de Vienne et dont il paraft

qu'on пе peut douter de се mcheux 6v6nement pour vous et

pour tous сеих qui s'int6ressent vous et qui savaient сот-

bien vous 66ez content et heureux dans votre vie priv6e. Јв

sens combien il est douloureux de perdre еп ип moment ипе

amie et ипе реноппе que vous aimiez et qui vous •rendait

heureux; mais, топ cher ami, c'est le sort qui поив attend

tous et auquel il faut se soumettre avec r6signation. Јв vous

conjure de пе раз vous abandonner votre douleur. Соп-

servez-vous pour vos amis, vog parens; d'ailleurs vos enfans

ont besoin de vous.

Si votre sant6 le permet, quittez аи plus tOt l'Italie. Le

s6jour de l'Angleterre, les occupations que vons pouvez у

avoir, contribueront peut-gtre dissiper votre douleur. Ј6 vous

conseille de le faire le plus tOt чив vous pourrez. J'avoue

que је m'attendais cet 6v6nement depui8 que j'ai vu сене

maladie tratner. Је vous prie, топ cher ami, de те marquer

l'6tat vous 6tes et surtout de votre sant6 et celle de vos

lenfans. J'e$re qu'ils vous serviront de consolation dans се