vous 6crira dans quelques jours et sur ипе matibre qui vous
fera plaisir, si quelque chose peut vous toucher dans се то-
тепь ci.
Прощай, Севюша; береги себя, не отдавайся въ печаль и
дЈтей своихъ отъ меня поциуй.
16.
21 septembre 1784.
Ме; inqui6tudes sur votre 6tat continuent toujours 6tre
les memes. La п'а pas apport6 la malheureuse пои-
velle que nous attendions les lettres de Vienne, mais
l'6quivalent; сат ипе lett.re de Braiko m-r Alopoeus de 4
septembre dit та bolle-soeur hors de toute esp6rance. Је vous
prie, топ cher Сенюша, de supporter cet 6v6nement avec
r68ignation. ll est cerqain que cela sera ипе perte irr6pa-
таЫе pour vous, vu l'amiti6 qni vous unissait et les doucenrs
dont vous joui88iez dans votre vie priv6, le premier des bon-
henrs sans donte; mais enfn се n'est ni la douleur, ni l'ahat-
tement, ni еп d6rangeant vous-m6me votre santb, que cette
perte pourra 8€ r6parer. D'ailleurs le bien de vos enfans
тёте exige que vous preniez 80in de vous-m6me. Cette пои-
velle venue de Vienne, et dont је vous ai par16e ddji dans
plusieurs de mes 8'68t r6pandue dans toute la ville;
c'est la raison pourquoi јв пе suis раз a116 la cour hier,
ni јв n'irai demain la f6te du couronnement. M-r de La
Fermibre est revenu avec le grand-dnc avant-hier de Gat-
china. J'apprends qu' aprbs les fdtes, c'est-i•dire demain, ils