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francais; c'est pourquoi је n'ai pas voulu пе pas joindre ici
роит votre information ипе copie de la note remise
ici l'ambassadeur du Гаре еп cons6quence des communi-
cations faites рат lui аи sujet des nouvelles instances du
Premie.r Consul, que le dit De f0t livre la France.
Par cette ainsi que par та d6p&che m-r d'OubriL
Paris, servant de r6ponse la sienne sur се qui regarde
la demande du ministre Talleyrand, que le conseiller de соит
13aykof, qui у est attachb notre mission, ftt renvoy6 de
е. vcrra jusqu'h quel point va l'audacc du дои-
verncment franqais, qui пе cesse d'employer tous ses moyens
роит dominer partout.
Les atfaires d'Allemagne relatives la noblesse imm6diate,
quoiqu'elles semblent approcher еп quelque sort.e vers leur
fn, apr•s l'6mission du conservatorium de la *upreme Cour
Aulique, elles п'еп sont cependant pas moins раг
leur nature; et il est bien fAcheu.x dans ces circonstances
c.ritiques, que les princes de l'ernpire n'entrent point dans
leurs y6ritables qui leur toute querelle
entre еих.
S. М. пе cesse (le se donner de la peine pour inspirer la
tranquillit6 et raccord dans ces contrees рат ses insinuations
pacifques, сотте vous le verrez par la copie ci-incluse d'une
dt5p0che notro епуоуё Berlin. Il а btb 6galement 6crit
sur се тёте sujet Vienne, Paris, Munich et Stut-
gard; il пе reste qu'i que Dieu, роит le bien de
l'humanite, couronne de les soins de l'Empereur.
Ni l'Autriche ni la Prusse n'ont pris jusqu'ici de plan
d6cisif par rapport аих afaires actuelles de l'Europe, et
nous attendons avec impatience dc voir si elles continue-
ront de regarder tous les avec la тёте indif6-
rence, ои si elles у prendront part. Le printems, еп тсс-