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tant аи jour les desseins ult6rieurs du gouvernement fran-

cais, nous montrera aussi l'inclination de ces puissances.

Л la fn је crois nbcessaire d'observer У. с. combicn

il est indispensable que la соит de Londres prescrive son

ministre Constantinople de soutenir notre envoy6 dans

les assurances qu'il fait la Porte de notre amiti6 роит

elle, dc la vbritable destination de nos armemens, que nous

n'entreprenons que dans la seule v•— de sa d6fense. Vous

n'ignorcz рая combien le gouvernemcnt turc est port6

soupqonner les autres puissances еп leur supposant dcs des-

seins реи favorables роит elle. Quoique nous ayons dFji

donnb la Porte des preuves de notre sinceirite,

cependant la confance qu'elle а toujours еие dans la соит

de Londres nous porte d€sirer que son ministre пе cesse

de la persuader rester tranquille et €loigner toute

m€fance envers nous, еп lui inculquant sans cesse que ses

vrais intekrets demandent qu'ellc se garde dc nous aigrir

раг sa m6fance et par des difhcult6s qu'elle pourrait mettre,

tant аи passage de nos troupes рас le canal de Const.anti-

nople qu'en d'autres occasions. S. М. I-le chargc v. е.

d'employer votre entremise activo роит que les instructions

les plus pr6cises soient donn€cs аи ministre anglais

Constantinople dans le sens ci-dessus e.xpos6. Ne (loutant

nullement du de vos dblnarches, јо vous supplie,

monsieur le comte, de т'еп donner connaissance qu'on

enverra de Londres les ordres аи sujet de notre

dcmande actuelle.

$ai l'honneur d'&tre etc.

(Sign6) Lo prince А. Czartorisky.