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de notre Ma1tre; mais топ sensible regret mes soins ont
6t6 sans efet.
Је n'ai pas besoin de vous dire, monsieur le comte, que
cette lettre n'est faite que роит etre lue par vous seul;
veuillez la montrer ои comte Strogonof.
Р. S. Si vous voyez le comte d'Antraigues qui se rend еп
Angleterre: је vous prie, monsieur le comte, de le recevoir
avec bont6. Il а beaucoup d'esprit et de connaissances et
avec cela quelques travers et des d6fauts. Оп пе fait pas
g6n6ralement l'610ge de воп caract&e moral; cependant, је
n'ai 6prouv6 de sa part qu'attachement et sinc6rit6, et j'ai
dt у etre sensible.
72.
St.-P6ter8bourg, le 2) Ман, У. st. 1807.
Il у а bien longtems, monsieur le comte, que је пе vous
ai 6crit et que је n'ai рад еи de vos nouvelles directes.
Les lettres que j'ai reques 6taient celles que т'а
remises le comte Strogonof. Elles cqntenaient des t6moigna-
ges pr6cieux de votre amiti6 et de votre confance pour
moi. Vous savez, monsieur le comte, combien ј'у suis sen-
sible et combien j'aime m'instruire des r6flexions que
votre longuo exp6rience vous sugOre sur les afaires et les
hommes. Sous сед deux rapports је vous dois 6galement les
remerclments les mieux sentis роит le contenu de vos der-
lettres. Que de choses se sont pass6es depuis! La
des 6v6nements est si prompte, si changeante,
peine est-on еп 6tat de la suivre. J'ai remis d'un jour