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personnellement соппи de lui: оп conv iendra, је crois, qu•ii
п'у eut rien d'extravagant dans le projet de forcer la paix
Moscou. Le mot de t6m6rit6, ои peut-etre plus exacte-
ment celui de boldness еп anglais, те paraissent carac-
teriser sufsamment la d6termination de cet esprit terriblc;
mais ni l'un ni l'autre de ces mots пе sont synonymes de
folie ni de sottise. Enfn il reconnut qu'il fallait se re-
tirer, et toutes ses pens6es se tourRrent de се c0t6.
Lorsqu'on se ressouvient que le marbchal рт. koutousof,
apr& avoir abandonn6 Moscou, avait 18,000 h. maraudcurs
dans son arm6e et que le d6sordre 6tait tel qu'il 6crivait
St-P6tersbourg, dans ипе lettre dont j'ai еи connaissance,
ces propres paroles: топ arm6e то donne plus de
soucis que l'ennemi, оп peut juger de се qui serait
arriv€ s'il avait 6t6 attaqu6 vigoureusement par Nap0160n
еп personne, avec toute sa r6serve de 25,000 hommes qui
n'avait pas donn6 Borodino. Enfn il recut ses renforts,
il organisa ипе ambulance de 30,000 chevaux, les secours
arrivaient de toutes parts, mais le froid surtout arrivait
son secours.
La supbrioritb militaire de Nap0160n avait fait ипе рто-
fonde impression sur l'esprit de се vieux militaire. Cette
impression €tait telle qu'avant la bataille de Taroutino
6 (18) 0ctobre, il afoua аи g6n6ral baron de Beningsen,
que l'id6e seule de Buonaparte l'6crasait et qu'il
n'osait pas regarder сот те ипе chose possible
de le vaincre. Il пе se d6termina тёте d'attaquer
(pour la fois) qu'apru avoir exig6 de Beningsen
la d6claration 6crite, qu'il croyait l'attaque avanta•
geuse et le succu probable.
Оп attaqua donc, mais quel devait &tre et quel fut еп
efet le succ& de cette afaire? La prise ои la destruction
d'une avant•garde de 20,000 hommes 6tait s0re et celle de