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тнПТВЕ ь'нпмпдав.

рад сотте Paris, аи spectacle, ой l'on ш'а теп& quelquefois?

Сев grandes dames, dans la trag6die, ont des confdentes, et аи

moi.ns des femmes-de-chambre dans la com6die; mais moi, pauvre

flle, il faut bien que је raiwnne toute seule, еп moi-mbme, sur

le joli јеипе homme qui те regarde tant depuis que је suis ici.

SCENE уш.

М. et Mde. de BONAOCOBD, ISABELLE.

М. de ВОЖАСООВП. Eh bien, vo&e plonais а l'air d'un fou.

Mde. de ВОНАОСОВП. П пе r—emble pourtant ремппе

de та соппо"псе. Monsieur Maisonneuve! monjeur Maison-

neuve! venez-ici, s'il vous plait.

SCBNE IX.

La тёти, М. MAISONNEVVE, les lama аит унт.

М. de ВОЖАССОВР. Qu'avez vous, топ ami? Avez vous du

chagrin ?

Mde. de BONACOOBD. 0ui, qu'est-ce qu'on vous а fait,

bonne homme?

М. MAISONNEUVE. Је пе pleurerois рад si l'on m'avoit fait

de la peine; је пе pleure que d'attendrissement.

1ВАВЕЫ,Е. Contez-nous cela, monsieur.

М. MAISONNEVVE. Vous avez peut-&e п, mademoiselle, ип

joli јеипе homme qui а l'air si honnete, qui se ротёп• si souvent.

ISABELLE. 0h! qu'oui, monsieur, је l'ai vu.

М. MAISONNEUVE, М. de BONACCOBD. Eh bien, топ-

Bieur, се јеипе )отте, qui п'а presque rien, viens de tirer ипе

famille de l'abyme ой la richese des s6ducteurs et 1'ехЬ•ёте

шее ой elle 6toit, alloient peut-etre la plonger, et tout cela

avec ипе d61icatesse, ипе pudeur dans.wn obligeance..,