усдовш МИРА ОДОБРЕНЫ ПИТТОИЪ.

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des deux autres consuls, је lui еп demandai la raison, et il

те rbpondit que tous les employ6s franqais disent que le

premier consul est le gouverncment, bt les deux autres, ain-

si чие les dif6rens conseils de la pr6tendue rbpublique, et

les dif6rens ministres des dbpartemens, composent seulemenl

l'administration.

Quand •j'ai fait mention de l'article secret que j'ai lu, је

пе rapporte pas son contenu, parce que lord Hawkesbury т'а

dit qu'il l'a envoyb ensemble avec les prbliminaires l'am-

bassadeur d'Angleterre еп Russie pour etre communiqu6 й

У. М. Не.

Се sera le тёте g6n-l Lauriston qui rapportera й Paris

les ratifcations sign6es par le roi, се qui se fera dans З ои

jours, aprbs quoi ces pr61iminaires seront imprim6s et ren-

dus publics.

Le comte d'Artois est r6solu d'aller vivre Edimbourg,

apparemment роит пе pas se trouver dans la тёте ville avec

le ministre de Bonaparte, qui probablement doit arriver ici

bientot. Tout le monde approuve la sagesse de cette r6so-

lu tion.

Је demandai lord Hawkesbury, que је viens de quitter,

si m-r Pitt а 6t6 instruit du courant de la n6gociation et de

son r6sultat, et s'il еп est content; il те r6pondit еп m'as-

surant que се grand homme а 6t6 instruit de tout, et que

le ministbre а la satisfaction d'avoir rencontr6 son approba-

tion. Је lui еп fs mes complimens, et il у avait de quoi,

Sire: саг si m-r Pitt а epprouv6 ces pr61iminaires, il les дои-

tiendra, се qui est ип point capital pour l'administration pr6-

sente, vu que l'estime et la confance qu'a la nation dans

cet homme prodigieux еп talens, savoir et 616vation d'@me,

пе peut etre compar6e rien, et qu'elle croira bonne ои таи-

vaise toute transaction faite, selon qu'il la soutiendra ои lui

donnera sa d6sapprobation d6cid6e.

Lord Hawkesbury, voyant que топ courrier devait тап-

quer Yarmouth le paqnebot qui partira avec la malle d'hier,

дгхввъ ввява. ВОРОНЦОВА, вв. 10-я.

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