О РУССЕОИЪ ВОЙСВ•.

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у incorporant des Finnois et des Esthoniens—la race la plus

mauvaise de tous les habitans du Nord, et qui пе peuvent

jamais s'amalgamer avec la n0tre. De tous les peuples пои-

vellement copquis раг la Russie, il п'у а que les Lithuaniens,

surtout cette partie qui compose la Russie Blanche, dont le

caractbre est le moins h6t6rogbne celui du russe, et ces

provinces peuvent sans inconv6nient donner des recrups

notre infanterie. Quant аих Finnois, Esthoniens, Livoniens 9t

Courlandais, оп пе devrait les employer qu'i 6tre денщивъ,

Фуриейтеръ, tant dans les r$iments que dans l'artillerie, et

s'il у а ип surplus qui reste des recrues qu'ils fournissent,

оп devrait choisir les moins mauvaiB et сеих qui habitent le

long de la mer роит les employer dans la marine, et s'il еп

restait encore, les employer dans les garnisons dans l'int6-

rieur du pays; alors l'infanterie et la cavalerie пе seraient

compos6es que de gens les plus propres роит сев deux вег-

vices.

П. уа encore ип poinV relatif la cavalerie qu'il est im-

possible de passer sous silence, c'est l'inutilit6 d'avoir des

cuirassiers: ils coatent le double par la chert6 des chevaux

qu'on est 0blig6 de eboisir de la ilus grande taille et des

plus robustes, et avec cette 6norme d6pense ils sont infini-

ment moins utiles чие les carabiniers, dragons et hussards:

la cuirasse 6tant ипе arme d6fensive trbs-pesante, exige que

les hommes qui la portent soyent grands, carr6s et trbs-

robustes. Le poids de l'homme, ainsi ajout6 аи poids de l'ir-

mure, exige de gros chevaux, qui sont lourds et pesants; et

сотте il est соппи de tous сеих qui ont fait la guerre чие le

pr6tendu сђос de cavalerie contre cavalerie est ипе chose chi-

m6r.ique, que personne п'а jamais vu l'application, le principe

m6canique qu'un .corps pesant qui choqae ип autre plus 16ger le

fait reculer, est hors de propos. Еп admettant тёте la possibf-

lit6 de се choc, accordant тёте que се cas arrive erbs-sou-

vent, il у а ип autre principe de m6canique, universellement

соппи, qu'on pourrait appliquer avec plus de raison la са-

valerie, c'est qu'un corps еп choquant ип autre fai_t plus

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мхивъ ввивв воронцоп, вв. 10“.