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que la Grande-Bretague п'а rien innov6 sur се sujet, qu'-

elle se tient се qu'elle pratique depuis deux

qu'elle а des trait6s avec la Russie, avee la Suue et le

Danemark sur се sujet; que le premier n'est que la r6p6-

tition de celui qui а 6t6 fait еп 1735 ои 36 et qui а 6t6

З fois renouvel&, que celui avec la n'est que le re-

nouvellement de celui fait du tems de Cromwell,et celui avec

le Danemark n'est que le renouvellement de celui qui а

6t6 fait il у а plus d'un que le trait6 avec la Hol-

lande est aussi ancien que fait dans le тёте principe;

que si la France d6sire de faire accepter се pays de

changer de principes, elle а raison, parce que cela lui don-

пета la facilit6 d'entretenir et d'augmenter ses forces nava-

les pour la ruine de l'Angleterre et que c'est ипе raison

de plus pour celle-ci п'у consentir jamais, que cotte,

car cela tient l'existence de la Grande-Bretague; que la

France п'а s'approvisionner de munitions navales еп

tems de paix, mais qu'en tems de guerre оп пе le souf-

frira jamais; qu'apr& vous avoir communiqu6 ceci ver-

balement, il aurait d0, еп cas que vous l'auriez exig6, vous

donner тёте cette r6ponse par 6crit. Soyez persuad6,

топ cher prince, que lord L. Gower пе pouvait pas faire се

qu'on demandait de lui chez nous; qu'il а тёте fait plus

qu'il пе pouvait faire, et le pr6jug6 qu'on а pris contre lui

chez пои«, n'est pas juste. Је crains тёте qu'il пе s'a-

percoive de la disposition qu'on а chez nous contre lui, се

qui le demander son rappel. Cela fera beaucoup

de tort аих afaires entre les deux pays еп cas qu'on reste

amis; car је пе connais personne d'bgale naissance, talents,

de prudence, ayant de la consid€ration ici, qui

puisse le remplacer; car аисип de ses pareils пе veut ет-

brasser la diplomatique: il sera done remplac6 рат

ип homme qui пе le vaudra еп rien et qui пе jouira d'aucun