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fcr tout sans crainte de perdre les sentiments que vous
m'accordez. D'aprbs la connaissance que j'ai du caractbre ев
des opinions de l'Empereur, је redontais des suitcs bien
ficheuses apRs la lecture de vos lettres. Је vous
тёрие, m-r le comte, c'est la vbritb, ct ј'еп suis convaincu
(lans та conscience, et tous les jours ј'еп suis plus convaincu,
le concert sign6 ici а 6t6 fait aussi bien qu'il pouvait l'&tre;
оп п'еп serait pas venu bout autrement. Оп пе force pas
les circonstances, mais il faut еп profter pour bien faire.
C'est се que les Anglais пе saxent pas; ils s'en sont bien
mal trouv6s et s'ils пе se corrigent pas еп cela, ils s'en,re-
pentiront.
Le c-te Michel est ici. Il 6tait d6ji се que l'on pouvait
dbsirer qu'il f0t; mais son s6jour еп G60rgie lui а fait encore
beaucoup gagner. L'Empereur, qui l'a vu chez soi, т'еп в
par16 avec le plus grand 610ge. Les deux croix, et surtout
celle de St. Georges, lui si6ent merveille. Је d6sire lui
etre bon quelquo chose et је chercherai gagner son amiti6,
tru-heureux si је puis par li prouver еп partie топ atta-
chement аих deux personnes qui lui tiennent le plus рт•И.
J'ai regu de longues lettres de la part du chancelier, et
ип mbmoire excellent sur les afaires, qni se trouve encore
chez l'Empereur et dont је пе puis рат cons6quent, m-r le
comte, vous envoyer encore la copie.