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sufsantes pour qu'on n'ait rien appr6hender роит le sort

futur des 6tats neutres.

Quelques jours apru le passage de la premibrc аттёе, la

seconde se mettrait еп marche, et еп calculant le tems

n6cessaire роит qu'elle se trouve dans la proximit6 de Var-

sovie, et celle de Lithuanie prete entrer еп Prusse, m-r

d'Alopeus remettrait Berlin la тёте dbclaration dont le

c-te Razoumovsky aurait 6t6 charg6, avec les modifcations

quc la dif6rence des rapports des cours de Berlin et de

Vienne avec la Russie exigerait. Nous avons demand6 que

le c-te de Metternich f0t d€» instruit alors de d6clarer аи

prussien quc . l'Autriche аи

plan de la Russie, et tenir absolument la тёте conduite

que m-r d'Alopeus.

Quant аих ouvertures que l'Autriche aura faire la

France (car il n'est рад douteux que la nouvelle de l'entr6e

des troupes russes n'excite les yives r6clamations de l'am-

bassadeur de Bonaparte), la соит de Vienne pourra all6guer

que le rassemblement des troupes franqaises еп Italie l'ayant

forc6e de concentrer de со c0t6 toutes ses forces, elle п'еп а

point de disponibles роит s'opposer la marche des arm6es

russes: que les dispositions de l'Empereur de

Russie, la cour de Vienne пе peut que se preter ses d6sirs,

еп demandant Bonaparte les moyens de rassurer notre

auguste Mattre sur les craintes qu'il а pour les 6tats du

continent et l'engager par des voies de conciliation

retirer ses troupes.

Се langage п'а d'autre but que de faire croire Bonaparte

qu'jl obtiendra facilement la retraite des troupes russes аи

тоуеп de 16gers sacrifces, се qui sersit tru-avantageux

аих puissances alli6es, parce qu'il prendrait d'autant moins

de pr6cautions contre l'attaque des forces r6unies de la