de те dire d'obligeant се sujet; mais је vous pro-
teste sans аисипе afectation que је пе suis plus bon
rien et que le repos est la seule chose qui convien-
пе l'6tat de та sant6.
47.
Paris, le 9 (21) f6vr. 1802.
Le marquis de• Gallo est arrivb, ici il у а dix jours.
Је luy ai remis d'abord les deux lettres que vous т'а-
vez envoy6es роит lui, et nous avons fait connaissance
ensemble. Par la traduction de la lettre qu'il а 6crite
аи pr. Castelcicala et que vous avez еи la bont6 de
те communiquer, је devrais croire qu'il п'а ici qu'une
mission passagbre; mais il а apport6 des lettres de cr6-
апсе qui semblent le fixer ici еп qualitb d'ambassadeur.
Il п'а ри encore les remettre аи premier-consul, mais
il а vu Talleyrand, sans avoir pourtant entam6 аиси-
пе question avec lui, pas тёте celle de l'6vacuation
des troupes frangaises des 6tats de Naples. Il se рто-
pose de le faire ces jours-ci, et еп attendant il ехрб-
die ип courrier роит Londres dont је profte pour vous
remercier, monsieur le comte, de votre lettre du 12
f6vr. dans laquelle је regois de nouveaux gages de la
continuation de votre pr6cieuse confance pour moi.
Је vais vous rendre compte des relations qu'il у а
еи entre Р. et moi et de leur origine. Celle-ci date de
la бп de l'ann6e 1793. Је пе le connaissais que de
пот et пе le voyais que dans la foule des courtisans,
lorsqu'un matin је regois de lui ип billet par lequel il
те demande ип rendez-vous. Је le lui fxe аи lende-
main; mais le soir тёте је suis appelb chez la d6-