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Се projet а 6t6 transmis votre excellence, је l'ai

communiqud ici et j'ai trouv6, tant dans le premier

consul que dans son ministbre, ипе adh6sion сотр1Ие

аих propositions et demandes de notre соит. L'un et

l'autre m'ont assur6 qu'ils allaient incessamment donner

des ordres аи citoyen Andr60ssy de manifester cette

adh6sion аи cabinet de S-t James et de l'inviter l'ac-

corder 6galement.

Еп faisant part votre excellence de cette disposi-

tion du gouvernement franeais, ј'еп profte роит lui

renouveler l'assurance, etc.

54.

Paris, се З janv. 1803 п. st.

Mes deux pr6c6dentes lettres allaient partir, lorsque

lord Witworth est venu m'apporter les deux v0tres

du 16 (28). Leur contenu т'а fait suspendre l'exp6-

dition des miennes, et је fus trouver m-r Talleyrand.

Avant de lui montrer votre lettre, је lui ai rappel6

que lors de la scbne arriv6e Vienne entre le comte

Raz. et m-r de Champagny, j'ai 6t6 charg6 de т'ех-

pliquer avec lui sur l'opinion de son gouvernement

par rapport l'6tiquette observer entre les ambas-

sadeurs respectifs, et qu'il m'avait assur6 que cette

6tiquette serait parfaitement conforme аи principe que

nous r6clamons de пе demander ni de c6der la pr6-

s6ance personne. П еп convint. Alors је lui ai fait lec-

ture de votre lettre. П trouva parfaitement sains et

fond6s les principes que vous у posez, mais сотте

је lui demandai qu'il 6crivft еп consbquence m-r

Andr60ssy, il те r6pondit qu'il пе pourrait le faire