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circonstance traitait avec les ministres 6trangers. Cette
nouvelle т'а jet6 dans ипе si grande consternation et
ип si grand trouble d'esprit que vraiment j'6tais inca-
pable de rien penser ni de rien dire sans que cette
id6e s'y m@ljt. J'ai craint de vous 6crire et de сот-
promettre cet 6gard votre tranquillit6, voyant рат vos
lettres m@mes que vous n'@tes pr6venu de rien. J'ose
vous еп parler aujourdbuy, parce que је те crois tout-
h-fait rassurb tant par mes propres nouvelles que рат
celles qu'ont reeues nos compatriotes ici, et dans les-
quelles оп пе parle pas seulement de la maladie de
m-r votre frbre, се qui те fait espbrer que cet acci-
dent а 6t6 exagbrb tant dans Ке rapport du g6n6ral
Hbdouville que dans les nouvelles de Berlin. Il те
reste cependant encore ипе grande inquiequde, motiv6e
par cette ardeur et cette assiduit6 avec lesquelles il se
livre аи travail et dont vous те parlez vous-m@me dans
vos lettres. Vous devriez le mod6rer cet Cgard. L'ou-
vrage dont il s'agit chez nous est moins celui des
hommes que du tems: il de tracer la marche, de
la suivre et de la redresser, quand elle d6vie du but
qu'on s'est propos6. Се n'est pas certes ипе petite be-
sogne, mais elle peut se faire pos6ment et sans don-
пет de secousse violente ni аи corps dirigeant, ni аи
corps dirig6.
Qu'est-ce qu'un oukaze бтапб chez nous dont оп
parle dans tous les papiers publics et qui permet
la noblesse de faire le commerce sans d6roger?
Cela n'aINnera-t-il pas ип реи de confusion dans les
qui, d6jh pas assez distingu6s par l'bducation et
les ache\veront de se confondre еп partici-
pant аих memes occupations? А chaque changement
qui se fait quelque part, chaque nouvelle institution,
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Архввъ Князя Воронцова Х Х.