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si d6g00tantes et si реи faites pour ип homme qui а

quelque d6licatesse et quelque respect• роит les bien-

s6ances, que је пе serai que charm6 de pouvoir quit-

ter ип poste ой il п'у а rien gagner et tout perdre.

50.

Paris, се 28 f6vrier (12 mars) (1802).

Proftant du d6part du prince 0bolensky роит Lon-

dres, је те hAte de vous remettre tous les papiers que

vous avez еи la bont6 de те confer, l'exception de

сеих que vous m'avez permis de garder. Је т'еп se-

rais acquitt6 plus t0t; mais је те siis trouv6 dans ип

si mauvais 6tat de sant6 que r6ellement је п'еп ai pas

еи la facult6, surtout celle de les ассотрадпет des

observations que је vous ai annonc6es; те trouvant

ип реи mieux pr6sent, soufrez que је les соттепсе

par celles que j'ai faire sur l'opinion de m-rle comte

Potozky dans la fameuse s6ance du S6nat du 9 janvier.

Il entre еп matibre еп transcrivant l'acte de l'Empe-

reur, par lequel il permet аи S6nat de lui faire des

remontrances sur les 6dits qu'il fait 6maner de son

autorit6. Ici се n'est pas le lieu d'une observation, mais

d'une question. L'Empereur пе peut-il publier ип 6dit

qui п'а pas pass6 par la censure du S6nat? Ои се droit

du S6nat пе porte-t-il que sur les 6dits qu'il veut bien

soumettre sa censure? Dans le premier cas, il s'est

d6pouil16 d'un droit bien pr6cieux pour la tranquillit6

d'un empire tel que le n0tre et п'а pas 0bserv6 la

formalit6 qui s'ensuivait, celle de faire enregistrer аи S6-

nat son 6dit avant de le rendre public dans tout son

empire. Dans le second, c'est ипе usurpation punissable