- 132 —

еи dans та vie, et dont la m6moire те sera 6ternel-

lement chbre. Је serai bien aise de le revoir, mais је

crains qu'il n'arrive ici lorsque је serai absent; car је

viens de demander l'Empereur la permission d'aller

аих еаих de Barbges роит у soigner та sant6 totale-

ment d6labr6e. Depuis tout cet hiver је n'ai cess6 de

soufrir, et cet 6tat provient d'uri afTaiblissement total

de mes nerfs. Роит реи чие је tarde,je crains de tom-

ber еп marasme complet. J'espbre qu'on пе те refu-

sera pas cette permission et surtout que l'e;tat des af-

faires еп Europe пе m'emp@chera pas d'en profter.

Р. S. Је vous renvoye cy-joint votre m6moire sur

le trait6 de commerce avec la Suue; il est vraiment

digne de son auteur. Ј'у ajoute les copies des d6p&

ches qui m'ont 6t6 adress6es de P6tersbourg. Si оп пе

vous les а pas communiqu6es, vous verrez combien

j'ai еи sujet d'en et,re content.

57.

Paris, се 7 f6vrier п. st. 1803.

Је vous ai infniment d'obligations, monsieur le comte,

de m'avoir ип реи tranquillis6 sur l'6tat de m-r votre

frbre par les d6tails que vous avez еи la bont6 de

т'еп donner dans votre lettre du 19 (31) janvier der-

nier. Les nouvelles qu'en donne la l6gation franyaise

P6tersbourg s'accordent avec les v6tres: elles рат-

lent de la convalescence de m-r votre fHre. А ип autre

que vous је parlerais avec plus d'6tendue sur

que ј'у attache sous tous les rapports imaginables et

de топ bien particulier et du bien g6n6ral. Il у а long-