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еи dans та vie, et dont la m6moire те sera 6ternel-
lement chbre. Је serai bien aise de le revoir, mais је
crains qu'il n'arrive ici lorsque је serai absent; car је
viens de demander l'Empereur la permission d'aller
аих еаих de Barbges роит у soigner та sant6 totale-
ment d6labr6e. Depuis tout cet hiver је n'ai cess6 de
soufrir, et cet 6tat provient d'uri afTaiblissement total
de mes nerfs. Роит реи чие је tarde,je crains de tom-
ber еп marasme complet. J'espbre qu'on пе те refu-
sera pas cette permission et surtout que l'e;tat des af-
faires еп Europe пе m'emp@chera pas d'en profter.
Р. S. Је vous renvoye cy-joint votre m6moire sur
le trait6 de commerce avec la Suue; il est vraiment
digne de son auteur. Ј'у ajoute les copies des d6p&
ches qui m'ont 6t6 adress6es de P6tersbourg. Si оп пе
vous les а pas communiqu6es, vous verrez combien
j'ai еи sujet d'en et,re content.
57.
Paris, се 7 f6vrier п. st. 1803.
Је vous ai infniment d'obligations, monsieur le comte,
de m'avoir ип реи tranquillis6 sur l'6tat de m-r votre
frbre par les d6tails que vous avez еи la bont6 de
т'еп donner dans votre lettre du 19 (31) janvier der-
nier. Les nouvelles qu'en donne la l6gation franyaise
P6tersbourg s'accordent avec les v6tres: elles рат-
lent de la convalescence de m-r votre fHre. А ип autre
que vous је parlerais avec plus d'6tendue sur
que ј'у attache sous tous les rapports imaginables et
de топ bien particulier et du bien g6n6ral. Il у а long-