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Londres, се З juillet 18Ж
Stahremberg est venu chez moi; il а соттепсб par
те dire qu'il 6tait venu m'avertir qu'aujourd'huy ои
demain il aurait еи ипе autre occasion роит Paris,
car le ministbre l'avait requis de donner ип passeport
ип autre courrier anglais. Puis il т'а ajout6 qu•il
venait de recevoir des lettres du g6n6ral Vincent, qui
fait actuellement les afaires de sa cour Paris.
m'avoir fait nombre de protestations еп faveur de та
cour, il а соттепсб те lire la d6pache du дбпб—
ral Vincent et ипе d6peche de Stadion аи dit g6n6ral
que celui-ci lui avait envoy6e. Dans la il lui
mande que Talleyrand lui avait dit се jour-lh (le 1-er
courant) que m-r d'Oubril пе viendrait• pas Paris,
paroe qu'il у trouverait ип agent anglais, mais qu'il
se serait arret6 Strasbourg, et il (g6n6ral Vincent)
demande Stahremberg de lui faire savoir quel degr6
de сопйапсе il peut mettre dans mylord Yarmouth.
La seconde 6tait ипе d6pbche assez longue de $tadion
ап g6n6ral Vincent, • et voici еп аЬт6дё son contenu.
Stadion parle. .des affreuses circonstances de la cour
' de Vienne, qui lui font ddsirer la paix g6n6rale роит se
procurer quelque repos; il dit чие m-r d'Onbril est
chargb, d'ofrir des conditions, mais que соттё la
Russie пе peut pas еп revanche 0tTrir qne la тесоп-
naissance de l'empire franyais, et de ses usurpations
aussi, il а раз esp6rer ипе bonne paix et du-
rable, et que •l'on 6taii r6duit, ои Bvoir ипе таи-
vaise paix, ои voir continuer la guerre, et dans