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Londrcs, се 13 a00t
Је vous remercie de се que vous 6crit sur
la Sicile. Је vois avec beaucoup de peine, que les di-
visions continuent, et quoique dans les afaires essen-
t.ielles оп se r6unit, се пе peut чие fiire du mal. Tout
le monde pourtant se loue de m-r de Tatistchew, le
roy, [а reine, et le g6n6ral Acton; mais tous те ра-
raissent assez m6contents d'Elliot, lequel certainement
а ипе mauvaise tete. Il fait manquer les secours рбси-
niaires, аи grand d6triment des op6rations, роит se
rendre n6cessaire et pour dominer, et il traverse beau-
соир sir Sidney-Smith. Аи reste tout est tol6rable, et
оп peut у rem6dier, si nous 6chappons l'orage des
nbgociations. Је vois avec plaisir que vous avez aussi
des esp6rances tant _pour la non-ratifcation du trait6
d'Oubril, que роит се qui а rapport се pays-ci; је
continue esp6rer, mais је пе suis pas sanp mes crain-
tes, tant роит се qui regarde votre cour, que pour
се qui сопсегпе celle-ci. Кипе des craintes que j'ai
sur P6tersbourg, est qu'on puisse se borner пе pas
ratifer les articles secrets, et qu'on ratife le trait6 d6-
finitif. quoique роит nous .cela serait ип moindre
malheur, cela пе laisserait pas d'en etre ип trbs-grand.
Је crains роит се pays-ci, que Р., qui se porte mieux.
пе soit de nouveau consult6; d'ailleurs, l'homme qui
est Paris est touA-fait lui, et il peut beaucoup
l'influencer. Је syais de stlr que Р. avait тёте entam6