il еп r6sulterait qu'elle пе consentirait pas аи proei—

soire sous l'approbation et le eronsentement de la Rus—

sie.

Је пе seais pas si ces raisonnements feront

тёте impression sur vous, ma.is је vous assure que

le discours tenu рат Talleyrand аи g6n6ral Vincent le

1-er du courant, qui пе peut etre forg6 рат Stahrem-

berg, qui те l'a lu dans la d6p6che du dit gbnbral,

аи sujet de m-r ()ubril, те donne ln. plus grande

espbrance que les n6gotiations actuelles n•auront. аи-

сипе suite, et que notre salut viendra de nos еппе—

mis. J'ai racont6 cela аи comte de Stroganow t'ex-

ception d'une couple de points, qu'en vous bcrivant

је trouve avoir oubli6s dans le recit que је lui ai

fait, mais је пе manquerai pas la premibre occasio»

de l'en • informer. Le tout те montre encore, que

puisque m-s Fox et Talleyrand пе peuvent pas etre

d'acc0rd pr6sent sur le point fondamental d'une

n6gociation unie ои s6par6e, il n'est pas possible поп

plus чие d'autres articles de d6tail ayent ро -etre

discutbs, et рат cons6quent la n6gociation n'est pas

aussi m0re que le public le croit.—Je syais de que

mylord Holland fait ses_ paquets et se pr6pare рас-

tir, mais је doute fort qu'il parte, si l'agr6ment de la

France ипе nbgociation conjointement avec la Rus-

sie doit еп etre le pr6alable.