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Londres, се 20 juillet 1806.

Vous avez vu la nouvelle note que j'ai pass6e

m-r Fox le 8 courant. Је lui ai dit dans се dernier

0Hice la v6rit6 tout entibre еп lui montrant, се те

semble, trbs-clairement le d6shonneur dont il allait se

couvrir et dont il allait couvrir le pays dont il rbgle les

distin6es, s'il laissait lp royaume de Naples entre

les mains des Frangais. Је lui d6montrai aussi que la

Sicile 6tait perdue si les Franeais gardaient Naples

la paix. Cet отсе а еи le тёте sort que les pr6c6-

dens: il est rest6 sans аисипе espbce de r6ponse. Ayant

seu que т-т Fox avait vu le c-te de Stroganow et

Stahremberg, је lui ai 6crit pour demander le voir.

Cette demande а еи le тёте succbs: elle- п'а pas

поп plus m6rit6 de r6ponse. M-r de• Stroganow п'а

point rbpondu la lettre (dont је vous ai envoy6

copie) que је lui ai 6crite еп lui envoyant та note

m-r Fox du 8 juillet, dans laquelle j'ai implor6 son

puissant арриу. Еп consbquence de се que vous т'а-

viez dit et 6crit, је те suis fait ип devoir de faire

toute sorte d'5vances m-r de Stroganow: је lui ai

communiqu6 tout се que је savais, j'ai 6t6 -chez lui

З fois dans ип jour роит pouvoir le trouver et роит

l'informer de се que је croyais qu'il n'6tait pas inutile

qu'il sot., lui ayant anticip6 еп grande partie tout се

qu'il а dti savoir aprbs рат m-r Fox, et tout cela dans

ип temps ой m-r le chevalier Vincent lui donnoit les

assurances les plus ,fortes et les plus positives qu'il пе