se passoit rien avec la France, et qu'il п'еп 6tait rien

venu. Mais је те suis bient0t aperyu qu'il 6tait inu-

tile de passer chez lui, сат il пе voulait pas у etre, et

qu'il п'у avait pas тоуеп de le rencontrer ои voir

ailleurs. Aprbs qu'il а vu т-т Fox, qu'il avait

reeu des d6p6ches de m-r d'Oubril de Paris, il т'а

envpy6 dire par le bon baron de Nicolai, qu'il serait

pass6 chez moi, mais qu'il n'avait rien те dire. Le

lendemain de се message, је те rendis chez lui; је

dois supposer qu'il у 6tait. саг c'6tait avant-midi, et

il у avait d'autres voitures devant sa porte; nonobstant

оп те renvoya. Је пе suis fAch6 de cela дие роит та

cour, car la conduite de m-r de S. те prouve qu'elle

п'а rien esp6rer de lui. Еп attendant que le ministre

de се malheureux roy de Naples, l'alli6 de l'Angleterre

et de la Russie, пе peut pas voir • ni m-r F. ni le

comte de S., ni recevoir d'eux аисипе r6ponse, il est

question non-seulement de lui faire perdre le royaume

de Naples, mais тёте celui de Sicile. Anciennement

les ministres alli6s se communiquaient аи moins tout

се qui concernait les int6rdt.s rbciproques, mais руб-

sent се n'est plus la mode. La question actuellement

se r6duit savoir si Buonaparte, qui п'а pas ип seul

soldat еп Sicile et ой il п'а pas la possibilit6 de mettre

ип seul soldat pendant la guerre, si la guerre continue,

la question se r6duit, dis-je savoir si Buonaparte

• veut bien nous laisser la Sicile nominalement dans le

trait6, dans lequel cas оп aura la paix; ои bien, s'il

s'obstine la demander, оп discontinuera ces honteu-

ses n6gociations. Је Sf.ais que m-r de S., approuve

beaucoup la conduite de Р. dans tout ceci, mais је пе

seais pas s'il а bien raison de l'approuv.er: 1-0, parce-

que m-r Р. пе lui а pas fait de communications, que