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Londres, се 19 aoat )806.

J'ai еи ипе longue conf6rence avec mylord Gren-

ville le 14 du courant, qui т'а beaucoup pein6 et

alarm6; car non-seulement је l'ai trouv6 dans ипе forte

et malheureuse persuasion que l'on пе pouvait rien

faire роит le contenent ni sur le continent, et чие rien

de satisfaisant је п'еп ai ри tirer pour le royaume de

Naples, mais је п'еп ai раз поп plus ри tirer аисипе

assurance relativement la Sicile Еп attendant, l'6tat

des n6gociations par rapport la Sicile, est qu'ils пе

pourront jamais consentir аисип 6change sans le

consentement de топ maitre, et par rapport tout le

reste, la base uti possidetis est demand6e d'i9i, base

actuellement refus6e рат la France, laquelle nie d'y

avoir jamais acquiesc6. Mylord Lauderdale а demand6

ses passe)orts, que sous le pr6texte. de l'a—

mour de [а paix оп lui refusait lors du d6part de son

dernier courrier; mais сотте оп lui еп а envoy6 ип

autre, il est pr6sumer qu'il ait 6t6 1е porteur de

l'ordre positif de s'en retourner, si la France s'obstine.

Mais сотте la B'rance а ип grand int6r6t пе pas

s'obstiner, оп пе peut c,ompter sur- rien autre chose

que sur l'extravagance de Buonaparte. Ма соит donc,

се чие les lords Lauderdale. et Ynrmouth пе