37.
Londres, се 19 aoat )806.
J'ai еи ипе longue conf6rence avec mylord Gren-
ville le 14 du courant, qui т'а beaucoup pein6 et
alarm6; car non-seulement је l'ai trouv6 dans ипе forte
et malheureuse persuasion que l'on пе pouvait rien
faire роит le contenent ni sur le continent, et чие rien
de satisfaisant је п'еп ai ри tirer pour le royaume de
Naples, mais је п'еп ai раз поп plus ри tirer аисипе
assurance relativement la Sicile Еп attendant, l'6tat
des n6gociations par rapport la Sicile, est qu'ils пе
pourront jamais consentir аисип 6change sans le
consentement de топ maitre, et par rapport tout le
reste, la base uti possidetis est demand6e d'i9i, base
actuellement refus6e рат la France, laquelle nie d'y
avoir jamais acquiesc6. Mylord Lauderdale а demand6
ses passe)orts, que sous le pr6texte. de l'a—
mour de [а paix оп lui refusait lors du d6part de son
dernier courrier; mais сотте оп lui еп а envoy6 ип
autre, il est pr6sumer qu'il ait 6t6 1е porteur de
l'ordre positif de s'en retourner, si la France s'obstine.
Mais сотте la B'rance а ип grand int6r6t пе pas
s'obstiner, оп пе peut c,ompter sur- rien autre chose
que sur l'extravagance de Buonaparte. Ма соит donc,
се чие les lords Lauderdale. et Ynrmouth пе