179

Еп parcourant lu documens que је lui avais communiqu6s, lord

Palmerston те 6t observer que le Р. S. de la note du vice-

cousul il 6tait par16 de passeports, tandis que la d6@che de m-r

gouverneur-g6n6ral с te de Woronzof mentionnait la d6claraion

de l'6tat de sant6, et qu'il 6tait convenable d'examiner еп quoi

consistait cette dif6rence.

Је r6pondis qu'il п'у еп avait аисипе dans le fond, quoique les

expressions пе fussent рав les m6mes; que l'agence imp6riale п 'exi-

geait que la v6rifcation de l'6tat sanitaire du bAtiment pour pr6-

server le territoire russe, travers lequel le8 navires passaient, de

la contagion, et que cette pr6caution usit6e et n6cessaire dans tous

les сад semblables, пе pouvait soufrir ni doute, ni discussion.

Le ministre те r6p6ta encore qu'il examinerait le tout de та.

nibre пе рад se d6cider que selon le droit et usages prati-

qu6s еп pareil сад.

Је suppose que e'est lord Durham qu'il adressera la r6ponse

pour 6tre port6e la connaissance de v. ех. Le droit et les usages,

m-r le c•te, sont si fort еп notre faveur qu'il paraft impossible

qu'on puisse h6siter les reconnaftre; cependant lord Palmerston

se plait 8i souvent contester les choses les plus claires que је

n'oserai рад r6pondre absolument qu'il пе поив ofre encore quel-

que argumentation contraire.

Еп те s6parant de lui, је lui ai d6clar6 d6fnitiment que поив

n'aurions jamais renonc6 аих mesures qui doivent поив pr&erver

de la peste, que је voyais avec plaisir que [е vice-consul avait

agi sans ordres sup6rieurs et, que је comptais qu'il еп recevrait

d'autres de nature le faire d6sister d'nne pr6tention aussi absurde.

M-r le b-on de Maltitz suivra cette afaire, se trouvant bien

inform6 des qui 8'у et des documens propres

la soutenir.