—67—

sur l'origine de cette dame et sur la sorte d'existence

qu•elle а еие et qu'elle pr6sent еп Је

n•aurai pas l'honneur de vous еп Ccrire (lavantage par

cette occasion-ci et је finis еп vous renouvelant etc.

31.

S-t. P6tersb., le 19 avril 1796.

L'exp6dition que l'on vous fait aujourd'huy, пе fera

pas grand plaisir la соит ой vous 0tes. Le prbambule

de la deip@che du vice-chancelier vous ennuyera vous- •

тёте, сат il пе contient que la r6pbtition de choses

чие l'on а d6jti tant de fois dites; mais il а fallu pas-

ser par lh., et la riison еп est que le ministre d'Angle-

terre et ses commettants ont insistb sur les secours de

l'Imp6ratrice, сотте sur ипе suite des promesses qui

leur еп ont 6t6 faitos. ()r, le traitb п'еп contient pas

ип mot, et les assurances verbales ont toujours 6t6

subordonn6es l'admission des principes qu'on propo-

sait de notre part pour la continuation et l'objet de la

guerre prbsente. Се n'est qu'autant que ces principes

auraient 6t6 reconnus et adopt6s que nous pouvions

faire cause соттипе dans cette guerre. Еп tout autre

sens elle nous devient parfaitemeut 6trangbre, et nous

cessons d'@tre tenus autre chose qu'i la stricte ob-

servation des clauses de notre trait6. Оп пе peut диь-

те nous faire de reproches cet 6gard. Nous avons

тёте fait preuve de bonne volont6, еп allant plus loin

qu'il пе le fallait. Nous п'у avons d'autre regret que

celui de voir тбсоппи le prix de nos bonnes disposi-

tions. 1l faut convenir que messieurs les Anglais пе sont

pas les gens les plus faciles manier. Ils nous ont re-

5'