cette id6e toute qne vraisemblablement у,

attachait m-r de Voltaire, је croirais .pouvoir sout&

nir, que du moins ralativemenb la politique int6rieure,

s'esf&ire la qui ayant la plus grande in-

fluence sur le bonhaar g6n&al', est sans аисипе espbce

de comparaison la plus nebie, la plus et

la plus importante de tontes, [ев Rnsse& soit •ои pln-

t0t deviendront nos mafres;: чие •c'est parmi епх que

s'est fiite la premibre applioation la pratique des

principes lumineux de th60rie que le genie de Smitt

lui а fait d6couvrir et pr6senter аи public; et que s"lls

continuent suivre li тёте route, се que tout porte

croire, parce qu'enfm s'ils sons entr6s les derniers

dans la carribre, s'ils ont ип moins grand amas de

connaissances, ils ont aussi moins de pr6jug6s сот-

battre et d'erreurs d6raeinei: ее дега еих. leur ехет-

ple, et les heureux efets qui еп r6sulteront, qui for—

ceront ces nations qui se disent 6clair6es, tandis qu'el-

les пе sont que vaines et orgueilleuses, se d6faire

de leurs pr6jug6s, ouvrir les уеих sur leurs erreurs

et rendre hommage la raison et la. v6rit6. Неи-

reux temps, monsieur le comte,' que ni vous ni moi пе

verrons, parce que la marche des 6vbnements tou-

jours infniment lente et peut 6tce retard6e раг mille

accidents qu'il est impossible de pkvoir, mais qui Пб-

cessairement arrivera t6t ои tard, sur l'id6e duquel

l'imagination de l'homme sensible se repose avec sa•

tisfaction et dont tous les hommes honn6tes et instruits

doivent contribuer de tout leur pouvoir acc616rer le тб-

ment.

Mais, sans nous arrater sur ип objet, sur lequel је

pr6vois ипе foule d'objections, qui qnoique pos-

sibles r6soudre, m'entrainreaient cependant dans des