ef de Та n6cessit6 duquel Лотте de la loiT6pondrait
erh' quelqtlb' sorte Sur son honneur, пе serait valide que
ribunaL Plae6 dans deux
'le'"d6cisiori'Alt1 t
prbmieceB elasseS4A'binpri
sonnement sertit' сопИ* et
le'fhilli s6rait•$er6u6'
nonvean; pldc6 dans' l'nnb'
deiiX Ла d6eisiod du tribunal sbtait l'a&
sa' lib6ration\ il' seraif libre sans que jamais et БОИВ
adeuri praexte,• sa libert6 pQt lui 6tre ravie ponr
eanse deoanquerontb.
Mais, те demanderez - vous sans doute, pourquoi
emprisonner• le failli тёте dans les deux premiers
cas? Qnel int(5rOt у 'ont les cr6anciers? Cet emprison-
nement [епт donneta-t-il
ип тоуеп de forcer •le fai'lti
й, les раует? Permettez-moi de vous l'observer, топы
deux int6r6ts t±-distinots,
sieur le eomte, il у а ici
eelni des cr6anciers et celui du public. Quant l'int&
r6t des cr6anciers, оп у а pourvu autant que faird
peut; toutes les premibres d6mar_ches de l'h6mtAB
la loi sont sans fraix, la formation du h•ibunal bst
aussi sans fraix et jusqu'i sa d6cision, il пе parBit•pas
qu'il puisse у avoir d'autres fraix que • n6cessit6 бе
pourvoir la subsistance du failli (soit soit'•rest6
chez lui, soit qu'on ait јидб n6cessaire de• s'a
provisoirement de sa personne). Cette• n6dessit6'test
gente, ј'еп conviens, et il doit у 'бћ•е pourvu', cai• •јё
regarde сотте indispensablement n6cessaire,• qtie
l'instant ой ип homme est еп faillite, il ne•lui Boit plus
permis de disposer et de faire usage' de guoiqae
que du, consentement de l'homnie dela loi Bt' des'
ciers: toute contrevention cette Rgle те paraft deqoiy
faire regarder le failli сотте banqueroutier .frauduletx.
А l'instant ой le tribunal prononce et place •le failli'