sue„ e.t се sera.it le cas de leur r

tqsquieu. que .l'int6riJ g6ndral dH, сопата•се doit toaymu•.s

et constammenb l'eruporter svr l'ipt&it .parcieuligr

f4Qciant. D'ailleurs, et votre ехсеЦепуе. n•aura раэ de

рте s.'en aperaevoir, ипе \6gi$teti0B .galcul6e d'a-

pN$, las Bincipes ci-dessus, pr6vien4r4it\ les abus 6,nor-

mes , dont оп .se .plaint. aujouxd'hui dans tqutes lep vil-

las de commerce,. qni, font dire аи n6gociant, par

l'Age. et l'exp6rienoe, qu'il faut toujours et dans tous

les cas accepter les premibres propositions du failli,

telles qu'elles p,uisgent Иге; qu•.honnete homme il. ofre

tout. ее qu'il peut offrir; que fripon il аи-

seu s'arranger роит пе pouvoir pas 6tre соп-

traiBt faire d'avNltage. Qu'arrive-t-il еп efetp lorsque

des er6anc.i.ers, irrit6s de la modicit6 des propositions

de leur d6biteur et ayant de justes sujets de le soup-

s,onner de mauv.aise fbi, se refusnt les aceepter et

[H•enneut [е parti ои de liquider sa masse, ои quelque-

fois . тете Це le, pouvs.uivre? Voit-on souvent des ban-

queroutiers fratWulgux punis suivant la rigueur des

ordonnanges? Ne s'en trouvp-t-il pas partout аи соп-

traire_ дц попфте, qui insultent leur cr6an-

с— se fqnt џџ .тоуеп Це legrs vols et de се qu'on

leur • connaft, роит se faire ип nonveau cr6dit et recom-

mencer de Ifouyellqs affaires? Les liquidations. ont-elles

pour les cr6anciers ипё plus consolante? Les lon-

gueurs qu•elles entrainent, les fraix qu'elles occasion-

nent, les proc& qui еп sont presque goujours la suite,

пе fiuissen$-ils рав presque toujours par absorber la

masse, et пе ура-од раэ continnellement, que confor-

m6ment la maxime ci-dessus, les cr6anciers ont еи

tort de ве раз accepter ler premibres propositions qu'

оп leur а faites? Cette maxime est donc vraie роит